À propos

Avec Papa

Coucou ! Appelez-moi Salwa, j’ai plein de choses à partager avec vous !

D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours intéressée au bien-être, au savoir-vivre, au mieux-être, à la croissance spirituelle, au plus quoi, tendre vers le meilleur, tendre vers l’excellence…. En fait, n’est-ce pas notre but à tous ?

But ou pas, je réalise au fil du temps que nous sommes les héros de notre propre vie. Nous en sommes les réalisateurs, donc c’est à nous de choisir de rendre notre vie meilleure, sinon, personne ne le fera à notre place !

But ou pas, au boulot pour améliorer notre journée, pour aimer notre séjour sur terre, pour tendre la main à celui ou celle qui se débat avec son quotidien.

J’ai déjà accompli plein de belles choses dans ma vie. J’ai étudié par passion: Psychologie, nutrition, Sagesses d’Orient, Yoga… J’ai aussi perdu beaucoup de temps à me demander si oui ou non, je devais les accomplir, mais dans l’ensemble, je suis fière de moi ! J’ai été une des pionnières en matière de nutrition, à l’époque où être végétarien était similaire à être un extra-terrestre ! Parler de nutrition était un langage inconnu, à présent, on ne parle plus que de ça !
J’ai beaucoup œuvré dans le bénévolat. Je considère que l’on ne peut pas avancer sans prendre par la main, nos frères et nos sœurs, moins fortunés, plus fragiles que nous. Un jour ce sont eux qui me tiendront la main.Quelqu’un a dit: “il nous faut apprendre à enlever les 2 FF du mot SOUFFRIR pour SOURIRE à la vie.” Faisons de même! Personne n’est épargné, mais c’est à nous  que revient le choix de relever la tête et d’avancer dignement.
Je suis journaliste, chroniqueuse. J’ai toujours aimé écrire. J’aime le pouvoir des lettres. J’aime prendre un stylo ou utiliser mon clavier pour fabriquer des mots, puis des phrases, puis des chapitres, puis une histoire. Une histoire de vie.

Membre active de la défense de la nature et des animaux, je suis pour la protection de l’environnement sous toutes ses formes; je lutte contre  les OGM et les pesticides qui tuent nos abeilles et nos papillons vecteurs de vie, ces pesticides qui nous polluent et qui détruisent nos aliments. Je suis pour la protection des arbres, essentiels à notre écosystème. Enfin, je soutiens la cause  des animaux. Silencieux mais ô combien présents, ils ont besoin de notre support inconditionnel.

J’ai été une des premières à rechercher le bien-être spirituel dans la méditation. Dans mon milieu, cela nous a valu bien des désagréments ! Méditer comme les Indous ? Mais où Salwa va-t-elle chercher ces simagrées ?
J’ai beaucoup lu et réfléchi sur les religions, les quêtes, les paroles des sages. J’aime lire et relire les histoires spirituelles. Elles me font du baume au cœur, elles m’apaisent et me font entrevoir un horizon des plus paisibles qui soit. Nous ne sommes pas de vulgaires tambours vide à l’intérieur! Non. Notre souffle est là, notre énergie rayonne, notre lumière nous insuffle l’amour. L’amour des choses vraies. Connaître, ou plutôt reconnaître son souffle divin est un élixir de bonheur et de jeunesse éternelle pour qui sait s’en servir !

Enfin, j’ai écrit un livre sur la diététique: “Maigrir avec Appétit” (éd. Eddif) et un tout nouveau, sorti en janvier 2015, déjà réédité (mai 2015) sur le douloureux sujet de la mort, de la perte d’être chers. “Journal d’une mère en deuil”ou  l’Apollon de lumière,  est mon récit de vie (éd. Le fennec) . Quoi de plus terrible que de souffrir de l’absence du bien-aimé ? Je l’ai vécu, j’en ai parlé.

Ah! Least but not last, je suis la fille de feu Abdelhadi Tazi. Fqih, lauréat de la Karaouyine, diplomate, académicien, conférencier hors pair, grand érudit et  historien de renom. C’est mon père chéri qui m’a inculqué l’amour des livres, de l’écriture, de l’histoire et  celui du savoir sous toutes ses formes.  Ce n’est pas héréditaire, c’est contagieux! J’ai appris en sa compagnie à accepter l’autre dans sa différence culturelle, religieuse et ethnique. J’ai grandi dans le respect des valeurs humaines. Avec lui, je me suis intéressée  au dialogue des cultures et des civilisations, j’ai compris le sens de la tolérance et celui du partage.  Enfin, tel Ibn Battouta, son précurseur, mon père a voyagé partout dans le monde. Grâce à lui j’ai pris goût aux voyages.  A chaque retour, mon père  semblait rajeuni et enrichi d’une expérience nouvelle. Il nous émerveillait en nous racontant ses récits de voyages. J’enviais tellement son ouverture d’esprit et son don inné pour raconter des histoires!

Voilà.

Parfois, il faut crier pour se faire entendre, souvent il suffit de partager sa voix au travers des réseaux sociaux ; c’est ce que je fais.

Bienvenue sur mon site,

Salwa